Quand on ouvre nos mains


"Quand on ouvre nos mains", c’est une chanson que j’aime écouter de Jean-Jacques Goldman. L’autre jour en lisant mes livres sur Maria Montessori et sur l’apprentissage des plus jeunes enfants en écoutant en même temps cette chanson j’ai trouver un lien. Je me suis dit que ce sujet était très montessorien : les mains.
Du coup je me suis amusés à chercher des expressions relatives à la main « Tendre une main », « donner la main », « donner un coup de main », « se prendre en mains » .Je trouve celles-ci positives sur le lien créé par la main de l’homme avec l’homme.
Maria Montessori attire notre attention sur le travail des mains de l’enfant. Dans l’environnement du bébé, nous proposons beaucoup de matériels sensoriels dans le but de développer la coordination main-oeil, la concentration, les muscles, l’intelligence de l’enfant. On propose des mobiles dès la naissance à nos bébés.
Notre première rencontre se fait par le toucher, à peine née nous le prenons, le tenons, le caressons, le rassurons.
Le bébé découvre très tôt ses petites mains, ses organes de préhension, qui tout au long de sa vie vont lui amener la nourriture, les outils, les livres, une ouverture au monde. D’ailleurs, je vous écris cet email sur le clavier de mon ordinateur, et je suis connectée indirectement avec vous !
Ces mains vont nous permettre de caresser la peau très douce du bébé, de sentir la chaleur de sa peau. Elles vont l’apaiser si on les pose délicatement sur son corps. Elles vont envelopper son petit corps.
Le langage des signes prouve comment les mains en elle-même sont un langage.




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